APOLLINAIRE RIMBAUDELAIRE VERLAINE

oh qu’ils sont jolis les multiples sourires de mary
et qu’elle est jolie si jolie et poétique si poétique
la louange mésange de mary et puisque louange
est mi-lou et mi-ange
écoutons
si je mourais là-bas de guillaume apollinaire
oh là là
si jolie dorée mi-lou mi-ange fa sol soleil
oh là là
qu’elle est belle la poésie de guillaume apollinaire
air d’apollon qui rime avec air comme baudelaire
charles baudelaire beau de l’air
eh oui avec ces deux gars
on s’oxygène librement
sans gêne on respire
de l’air beau et pur et dur et poétique
l’air beau et pur et dur et poétique
de
la beauté
la pureté
la dureté
la poésie

« et sois la plus heureuse
étant la plus jolie »
et rit quand il faut rire
et il y a de quoi rire
et pleure quand il faut pleurer
et il y a de quoi pleurer

eh oui dans le monde
il y a de quoi rire
et de quoi pleurer
et il y a aussi de quoi
rire à en pleurer
et il y a aussi de quoi
pleurer de rire
et il y a aussi de quoi
rire jusqu’aux larmes

et il y a aussi de quoi
pleurer jusqu’aux armes

ça y est
j’ai perdu le fil à coudre
mon écrit et à le broder
ah oui
écoutons
si je mourais là-bas de guillaume apollinaire par la rouquiquinante
à ne pas confondre avec l’enquiquinante
LE LECTEUR
quelle est la différence entre la rouquiquinante et l’enquiquinante
L’AUTEUR
la rouquiquinante n’est pas enquiquinante et elle chante bien
contrairement à l’enquiquinante qui ne sait qu’enquiquiner
LE LECTEUR
merci
L’AUTEUR
de rien et écoutons aussi
marie de guillaume apollinaire par pierre perret
« je passais au bord de la seine
un livre ancien sous le bras »
et que cyril lepage et plume la traverse
chantent marie-lou
« assis près de ma fenêtre
donnant sur la cour »
comme la fenêtre sur cour
d’un sir qui s’appelle sir

« je suis seul et c’est la fête
de mon premier jour
j’offre mon cadeau intime
devenu chanson
à marie-lou ma cousine
souffle de bonbon »
mais surtout n’écoutons pas
marie-lou par pierre perret
oh quelle horrible chanson
🙂
« sur le matelas de marie-lou
on s’irritait salement
les meules »
et ne lisons pas non plus
l’idole d’arthur rimbaud et de paul verlaine
oh qu’il est horrible le sonnet du trou du cul
qui sonne même quand on ne l’a pas sonné
🙂
« obscur et froncé comme un œillet violet
il respire humblement tapi parmi la mousse »

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4 commentaires pour APOLLINAIRE RIMBAUDELAIRE VERLAINE

  1. Marguerite Rothe dit :

    La dernière strophe est… ^^

  2. Roomanies dit :

    Merci encore pour vos jolis vers qui me sont destinés.
    Je suis en train d’écouter  » si je mourrais là bas ». Tristes vers. Ne mourrez pas, là bas sur le front de l’armé. Je pleurerais amèrement c’est sur et certain.

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